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Do or Die (AKA Connection Hawai AKA Jeu Fatal), from Andy Sidaris

By   /   20 janvier 2008  /   No Comments

Un Sidaris mineur reste un Sidaris, et bien mal embouché celui qui ferait la fine bouche sur un tel met.

Un Sidaris mineur reste un Sidaris, et bien mal embouché celui qui ferait la fine bouche sur un tel met.

Ici, les ingrédients qui ont fait leur preuve sont bel et bien présents : armes loufoques (la canne lance-mini roquettes), avions en modèle réduit (on a même le droit à un meeting de fantaisies volantes), animations informatiques nanars, explosions, dialogues référentiels débiles («  »oh, le petit chat est mort » »), équipe de jolies filles poitrinaires et de beaux mecs niais, séance de jacuzzi (toujours le même j’ai l’impression), et même deux pauvres Ninjas. L’histoire se résume à peu de chose : Ken (Pat Morita) décide de lancer 7 équipes de tueurs, une après l’autre, sur le dos des 2 stars de l’Agence (Dona Spier et Roberta Vasquez) pour les mettre à mort tout en conservant le sens du jeu. Malgré ses évidentes qualités, Do or Die demeure un nanar mineur car l’ensemble manque un peu trop d’entrain et de la folie habituelle des oeuvres de Sidaris, qui, d’ordinaire, sait pourtant mieux surprendre son spectateur. La routine s’installe, les scènes de pelotage dévoilent certes les charmes des playmates, mais sans rien d’extraordinaire. Et drame, aucun Abilène au décompte des personnages (et la tradition, bordel !). Ne croyez pas non plus qu’on ne rigole pas devant ce spectacle régulièrement confondant. Pat Morita est bien trippant à passer son temps de film à tripoter pour toutes sortes de raisons pseudo-scénaristiques sa jolie demoiselle de compagnie. Et celle-ci de sortir lors d’un massage sensuel : – « Il est écrit qu’il y a 200 os dans le corps humain <''c'est 206, ignare''>. Portez ce nombre à 201. » – « Pas pour longtemps. »
Une vidéo : des mises à mort toujours aussi ridicules.
Quelques images sympas : Erik Estrada, un grand classique. Toujours plus de volume mammaire. L’équipe de winners quasi-au grand complet. Un Ninja dont on distingue le nez et la bouche. La classe incarnée. Pat s’éclate.

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About the author

Adepte d'un toubifrisme radical proche de l'auto-destruction messianique, Kobal ne survit qu'en se pratiquant des perfusions intra-auriculaires de doublages à haute densité nanaromètrique. Le week-end, il anime des cérémonies occultes afin de permettre à l'âme de Bruno Mattéi de se réincarner dans le corps de Jeff Leroy.

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