Mais uniquement l’effort de guerre transalpin, dans les années 70, avec des pétomanes et des femmes à poils. Sinon c’est pas marrant. Pour ceux qui pensent que ça n’existe pas, Nanarland vous prouve le contraire avec sa dernière chronique mise en ligne : La toubib aux grandes manoeuvres

Pour ceux qui ne le savent pas encore, les films comiques navrants ne sont pas l’empanache de la France « franchouillarde » des années septante. En effet, en tant qu’Européen convaincus, il est de notre devoir de dénoncer les autres pays quand ils produisent des films aussi crétins (voire plus) mais parfois avec encore plus de vulgarité et de débilité. Personnellement, on ne juge pas les Italiens, hein ? Non parce qu’ils font des pâtes comme personnes, ils jouent bien au foot et une de leurs actrices préférées est Française (et souvent nue) : Edwige Fenech. Non et puis, on ne peut pas juger car il faut l’avouer, un sacré paquet de gens qui côtoient notre site sont fans d’Alvaro Vitali également… ça tombe bien, ces deux acteurs sont les protagonistes du dernier film chroniqué sur le site. La toubib aux grandes manoeuvres ++__EXTRAIT DE LA CHRONIQUE :__++  »Ami nanardeur, si le concept de gangbang sur un curé de village te rebute, si tu penses qu’on ne peut pas uriner sur un colonel, ta lecture de ce texte pourrait s’achever ici. En effet, rien ne te sera épargné. L’effet de la potion du doc allant crescendo, tous les protagonistes ont des « hallucinations porno-érotico-sexuelles », Montagnani en tête qui « voit des culs partout », même sur les drapeaux en berne; il dévoilera sous nos yeux ébahis l’immensité de son talent à mesure que son hystérie augmente. TOUT dans ce film tourne autour des culs sous toutes leurs formes, derrières de militaires rafraîchissant leurs hémorroïdes à la source, touché rectal, Alvaro fumant avec ses fesses, festival de pets sonores pour notre plus grand effarement. Les flatulences rythment d’ailleurs la partition de cette ?uvre, faisant même l’objet d’un gag d’au moins cinq minutes après que le camp ait mangé du goulasch de 1914. » On vous aura prévenu…  »Touche, c’est du 100% francese ! »