En témoigne cette ultime chronique en ligne. Les 7 magnifiques. Une sorte de 7 samouraïs ou 7 mercenaires mais version chromosomes XX.

Véritable fourre-tout cinématographique, les « Septs magnifiques » (alias les 7 Femmes Commandos alias Amazon Commando alias Black Fox Fury alias Sexy Commando alias Ladies Kickboxing alias Black Cat alias Jackie Chan’s Crime Force alias 7 Black Heroines) cumule les genres cinématographiques. Enchainant les scènes toutes plus improbables les unes que les autres, le dernier film chroniqué par Drélium (l’ami des film asiat) est un nanar dense. Trop peut-être ? Que nenni, plus la folie est grande plus on aime ça sur nanarland. __EXTRAIT :__  »Dans le présent film, chaque actrice y représente un stéréotype du cinéma d’aventure. Sally Yeh (« Roboforce ») campe la Rambo clope au bec, Hilda Lau (« Massacre au Village ») la sabreuse accro à la bouteille, Teresa Tsui l’amazone catcheuse tatouée, Silvia Pang la voleuse espiègle, Sophia Ching la prostituée coquette assassine, et surtout Elsa Yeung (« Chinese Super Ninja 2″, « Life of Ninja ») la magnifique rebelle gothique christique avec sa coupe Kim Wilde totalement anachronique et sa paire de lunettes de rideuse du même acabit. Terminons par la star, Brigitte Lin, qui incarne une voyou capitaine flanquée d’une toque russe moumoutée et d’un bandeau pirate à l’œil gauche. Elle nous est présentée comme la plus dangereuse et venimeuse de ces 7 femmes d’acier lors d’un générique qui annonce d’emblée la couleur. »  »I believe, I can fly… »