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Que se passe-t-il sur nanarland depuis 3 chroniques ?

By   /   21 novembre 2009  /   No Comments

Et ben pas mal de choses. Pour ceux qui ont raté le train voici un bref récapitulatif des dernières chroniques mises en ligne sur notre site.

Et ben pas mal de choses. Pour ceux qui ont raté le train voici un bref récapitulatif des dernières chroniques mises en ligne sur notre site.

On commence par un des films les plus dingues de l’histoire de la comédie d’espionnage (si si, ça existe). La Guerre des Espions est un véritable test pour votre santé mentale. Un film français mélangeant comédie navrante et frénésie sous couvert d’un scénario hyper confus : ou comment vous faire comprendre que parfois, le nanar peut être la principale raison de prendre de l’aspirine. __EXTRAIT DE LA CHRONIQUE :__  » Chaque scène est désormais une espèce de petit sketch (totalement raté, par ailleurs), mettant en scène quelques-uns, voire l’intégralité des protagonistes dans un non-sens bordélique qui choquerait même le plus déjanté des Monty Pythons sans que cela soit drôle pour autant. Que se passe-t-il exactement pendant cette moitié de film ? Impossible à dire. On y voit les personnages soliloquer sur des sujets abscons via des dialogues évoquant une piètre imitation d’Audiard, danser, chanter, sautiller sur place, faire du ski, de la luge, chevaucher des saints-bernard, courir après un figurant dans un costume d’ours blanc ou organiser un tango impromptu au beau milieu d’un gunfight… Tout au plus comprend-on que Finshh tombe amoureux de Bastos, la sœur du Pacha, et que le savant joué par Zanini préfère se rendre sur place pour assurer lui-même la négociation de son invention avec les espions – au vu et su des agents du SDECE et des gendarmes présents, mais bon… Qu’importe ! À partir de là, plus rien n’a la moindre importance. Le champ de perception du spectateur est distordu, son œil devient torve et il commence très naturellement à percevoir des formes étranges issues des quatrièmes et cinquièmes dimensions à la limite de son champ de vision. La chanson « Paradis artificiels », une ode au LSD et à la fumette susurrée par Martine Kelly, permet cependant de mieux comprendre où l’Auteur a puisé son inspiration. » Nous continuons avec le second film « direct to nanarland ». Après Humains, le long-métrage Cinéman est le deuxième film qui, à peine sortie au ciné est chroniqué sur le site. Mais entendons-nous bien, la présence du film de Yann Moix n’est pas du à sa qualité de nanar. En effet, il rentre parfaitement dans note catégorie "au-delà du nanar". Une rubrique qui, rappelons-le, nous permet très occasionnellement de sortir de la pure sphère des mauvais films sympathiques pour aborder aussi des oeuvres qui, réussies ou non, entretiennent à nos yeux des liens avec l’univers du nanar. Nous en voulons pour preuve le fameux teaser qui à l’époque, nous avait fait dresser les oreilles (et les cheveux). __EXTRAIT DE LA CHRONIQUE :__  »Tandis que l’intrigue se met peu à peu en place, une tenace impression (qui demanderait à être vérifiée) nous taraude. Celle d’un objet n’ayant pas obtenu, au sortir d’un premier montage, l’aval de son réalisateur – ou de sa production –, qui n’aurait pas été jugé assez drôle en l’état, et qu’il a fallu reprendre de fond en comble lors de sa post-production. En étant un peu attentif, et même en l’étant très vaguement pour tout dire, les défauts monstrueux de la post-synchronisation (redoubler les voix pour le montage final, en gros) vous sautent à la gueule : on voit clairement les décalages féconds entre le jeu live et les dialogues enregistrés plus tard, et on perçoit encore plus nettement les changements de dialogues ayant été opérés, histoire de changer – ou de rajouter – certaines vannes, pour un résultat comique qu’on qualifiera de mitigé, toujours pour rester poli. Dans ce même ordre d’idées, l’adjonction foireuse de bruitages incessants soulignant avec une crasse redondance les gags visuels finit par horripiler franchement au pire, et au mieux susciter des interrogations théoriques histoire de passer le temps (les rires enregistrés façon sitcom des scènes de classe sont-ils voués à comparer le quotidien de Deloux au prisme télévisuel ? Les gazouillis d’oiseaux dans les scènes d’intérieur créent-ils un débordement vers l’onirisme ?). Mais bon, pour être honnête, ces questions s’effacent bien vite devant la consternante réalité du film. » Pour finir, les amateurs de cinéma des années 50 vont être ravis. Kobal nous livre la chronique de Psycho Invaders. Vénérable hommage aux films d’invasion extra-terrestre des 50′s avec les effets spéciaux d’aujourd’hui… mais en plus moche. Une chose est certaine, avec le réalisateur Jeff Leroy on en a toujours pour son argent (enfin façon de parler) et on est jamais déçu du résultat. Des effets spéciaux cheap, des acteurs à coté de la plaque, un scénario tenant sur un post-it coupé en deux mais bon dieu c’est vraiment marrant! __EXTRAIT DE LA CHRONIQUE :__  »Parlons-en d’ailleurs de ces moyens techniques. Si Jeff Leroy s’est acquis une belle réputation par chez nous, c’est justement parce qu’il ne mégote jamais sur ses ambitions, qui flottent bien au-delà des dures réalités budgétaires. Le monsieur sait avoir les yeux plus gros que le ventre en matière d’effets spéciaux, ce qui l’a toujours poussé à traficoter dans tous les domaines possibles pour s’en tenir à sa vision artistique. Et comme toujours, le résultat est plus qu’à la hauteur des attentes, surprenant en permanence même les plus blasés des cinéphages qui carburent à la nullité vidéofilmique. Le mélange à la bétonneuse des différentes technologies de FX est une spécialité du bonhomme, qui les étale à l’écran couche après couche dans une surenchère sans fin du mal branlé. » On ne peut pas parler de Jeff Leroy sans mentionner la belle Phoebe Dollar

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