Nanarland ne se concentre pas uniquement sur les ninjas au rabais, les psychokillers normands et les nains philippins. Nous aimons aussi nous pencher sur les films que nos plus grandes stars aimeraient voir discrétement effacer de leur filmographie. Et tout ce mois de mai sera consacré au plus grand des monstres sacrés du cinéma français : __Monsieur Alain Delon__ Nous avions déjà évoqué en ces lieux quelques pans trop méconnus de la carrière de notre Samouraï national. Ainsi dans l’extraordinaire [Ne reveillez pas un flic qui dort|/Chroniques/Main.php?id_film=nereveillezpasunflicquidort|] , il incarnait le dernier rempart de la République en danger face à un Michel Serrault cabotinant sans retenue en flic fasciste revant d’instaurer un ordre noir sur la France. Et qui a pu oublier [le jour et la nuit|/Chroniques/Main.php?id_film=jouretlanuit|], véritable mètre étalon de la prétention intellectualo-érotico-neuneuisante comme seul notre BHL national (que le monde entier ne nous envie pas ) pouvait engendrer ! Et bien ne croyez pas que ce soient les seuls faux pas de cinquante ans de carrière bien remplie. loin s’en faut. Pendant tout ce joli mois de mai votre site préféré va égréner quelques unes des plus belles perles qui traîne sur la filmographie de ce grand fauve. Avec, par exemple, et pour commencer, la chronique d’[Airport 80 Concorde|/Chroniques/Main.php?id_film=airport80concorde|], castrophique film catastrophe où Alain Delon sauve certes le supersonique et ses passagers d’une mort certaine mais pas du ridicule.  »Alain Delon lui même nous demande de taire ses plus beaux ratages, mais c’est déjà trop tard ! »