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Vive la mondialisation du nanar !

By   /   3 août 2010  /   No Comments

Nanarland a l’habitude de fouiner dans les stocks les plus exotiques du cinéma internationale. Si Bollywood et Hong-Kong se démocratisent, on ne peut pas en dire autant des films pakistanais (qui a vu Haseena Atom Bomb ?), turcs (OK, nombres d’entre vous vous ont déliré devant Turkish Star Wars, mais combien sont allés jusqu’à s’infliger En Büyük Yumruk ?), philippins (Cap'tain Barbeeeell !), thaïlandais (même moi, j’ai pas vu Hanuman and the Five Kamen Riders) ou bien encore taïwanais (les nocturnement excentriques Hommes d'une autre planète).

Nanarland a l’habitude de fouiner dans les stocks les plus exotiques du cinéma internationale. Si Bollywood et Hong-Kong se démocratisent, on ne peut pas en dire autant des films pakistanais (qui a vu Haseena Atom Bomb ?), turcs (OK, nombres d’entre vous vous ont déliré devant Turkish Star Wars, mais combien sont allés jusqu’à s’infliger En Büyük Yumruk ?), philippins (Cap'tain Barbeeeell !), thaïlandais (même moi, j’ai pas vu Hanuman and the Five Kamen Riders) ou bien encore taïwanais (les nocturnement excentriques Hommes d'une autre planète).



Il faut toutefois reconnaitre que dans cette exploration trans-culturelle, le continent africain est malheureusement sous-représenté. En dehors de quelques co-productions (Nukie et Miko) et du cas camerounais d’Alphonse Béni (African Fever, Cameroun Connection), le lecteur assidu de Nanarland n’a pas grand chose à se mettre sous la dent (enfin, sous l’œil plutôt).

Pourtant, l’industrie du cinéma n’est pas inexistante en ce vaste continent. Les pays du Maghreb connaissent un début de diffusion de leurs œuvres locales, tandis que le Nigéria est réputé très prolifique dans le domaine (3ème puissance cinématographique tout de même, ce qui lui a valu le surnom de Nollywood). A ce sujet, les spectateurs de la dernière Nuit Excentrique ont pu assisté aux délires hystéro-cabotins du film 666.

Ce qui nous amène à la raison de cette news : la découverte par inadvertance d’une bande-annonce d’un métrage ougandais. Oui, oui, l’Ouganda. Regardez le trailer de Who Killed Captain Alex (car c’est là son petit nom), c’est s’assurer une mine enjouée et une confiance accrue en l’avenir du cinéma de mauvais genre. Transcendant son budget que l’on devine à peine digne du terme minable, WKCA parait d’une générosité à faire pâlir tous les plus grands réalisateurs de blockbusters américains. Mais que cesse la parlote, et fussent les images !

WHO KILLED CAPTAIN ALEX
Et ouais.
Histoire payer notre dû aux responsables, voici le lien vers leur compagnie : Ramon Film Production. Puissent les Dieux du nanar leur être cléments.

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About the author

Adepte d'un toubifrisme radical proche de l'auto-destruction messianique, Kobal ne survit qu'en se pratiquant des perfusions intra-auriculaires de doublages à haute densité nanaromètrique. Le week-end, il anime des cérémonies occultes afin de permettre à l'âme de Bruno Mattéi de se réincarner dans le corps de Jeff Leroy.

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