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Un chroniqueur avoue son amour sincère (et platonique) envers Mike Abbott sur Nanarland

By   /   11 juillet 2009  /   No Comments

Bon, en réalité John Nada (noble chroniqueur et adorateur sans-limite du Petit Robert) nous décrit sans détour le pourquoi du comment de sa relation particulière (mais non gay) avec ce sympathique acteur dans sa dernière chronique : Empire on Fire.

Bon, en réalité John Nada (noble chroniqueur et adorateur sans-limite du Petit Robert) nous décrit sans détour le pourquoi du comment de sa relation particulière (mais non gay) avec ce sympathique acteur dans sa dernière chronique : Empire on Fire.

Et cette chronique l’explique fort bien : seul un « vrai de vrai » comme notre rédacteur aux yeux verrons pouvait se mater un tel film, le soir tard chez lui, pendant que les gens normaux dorment. Et on ne le remerciera jamais assez car c’est un peu grâce à des guerriers du nanar comme lui qu’on arrive à héberger sur le site ces chroniques de films si particuliers. Alors de quoi parle ce film ? D’un royaume indéterminé envahi par des pirates, qui non seulement renverse le pouvoir en place mais en plus mette en place leur nouveau « roi ». Qui donc ? Je vous le donne tout de go : Mike Abbott. Heureusement, la résistance se prépare…. (oui je sais, ce pitch est nul. Je…ne vois pas comment je peux faire autrement tellement le synopsis est plat) La chronique est un véritable hommage à l’acteur (qui a un CV assez hallucinant quand même) tout en soulignant les aspects nanars du métrage. EXTRAIT :  »Première grosse déception : « Empire on Fire » ne recèle aucune magie, aucune sorcière, homme crocodile, femme serpent ni effet spécial coloré, bref rien de ce qui faisait le sel et la spécificité du cinéma de genre indonésien de la première moitié des années 80. A la place, on se retrouve devant d’effarantes histoires de coucheries et de duplicité dignes du plus tordu des soap operas, le script de « Empire on Fire » s’apparentant moins à une fresque épique et guerrière qu’à un inextricable marivaudage nanar. L’occasion de caser d’innombrables scénettes d’amour, plates et convenues, qui correspondaient peut-être à ce que les frères Samtani pensaient être « les attentes du public occidental » (du cul !) mais s’avèrent à l’écran aussi torrides qu’une partie de strip-poker dans une maison de retraite mal chauffée. La crainte de la censure, dans ce qui demeure le premier pays musulman au monde par sa population, y est sans doute pour quelque chose. » Pour vous donner un idée du jeu de Mike Abbott dans ce film, un extrait vidéo vous est accessible avec la chronique. Pour lire notre interview du grand Mike c’est par là.  »John Nada t’es mon pote !!! Beuuuaaaargh! »

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